Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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"L’effort économique à fournir devra s’accompagner d’une vraie justice sociale. Nous en sommes loin !"

15/10/2009 09:57



 "Les Français ne supporteront bientôt plus le pouvoir sarkozyste »
Libération, jeudi 15 octobre 2009 - Interview - Propos recueillis par Christophe Forcari
La candidature de Jean Sarkozy à la tête de l’Etablissement public d’aménagement de la Défense (Epad) n’a pas été digérée à droite. Mais rares sont ceux qui osent le dire. Au gouvernement, seule Rama Yade admet que le climat est mauvais. Ainsi que l’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. Député (non-inscrit) de l’Essonne, Nicolas Dupont-Aignan, qui a quitté l’UMP début 2007, peut se permettre de dire tout haut ce que nombre de ses ex-collègues pensent tout bas.
En soutenant les ambitions de son fils, Nicolas Sarkozy n’a-t-il pas tiré une balle dans le pied de la droite ?
Nicolas DUPONT-AIGNAN : il est carrément en train de scier la branche sur laquelle il a été élu. Il a porté pendant sa campagne un certain nombre de valeurs comme le mérite, le travail, qui sont aujourd’hui battues en brèche dans l’exercice du pouvoir. Son attitude brise le pacte républicain. Beaucoup de gens rejoignent aujourd’hui notre mouvement Debout la République, choqués par la nomination de Jean Sarkozy, et ils viennent pour la plupart de l’UMP. Dans son électorat, la désillusion à l’égard de Nicolas Sarkozy est à la hauteur des espérances suscitées.
Avec cette affaire et la polémique sur Frédéric Mitterrand, l’UMP ne tourne-t-elle pas le dos à son électorat ?
C’est une certitude. Cette inversion de valeurs n’est pas nouvelle. Depuis l’élection du président de la République, nous assistons à une vraie rupture : la dévalorisation de la fonction présidentielle. Nicolas Sarkozy agit avec la plus grande désinvolture, non seulement à l’égard du Premier ministre, mais aussi des parlementaires et surtout des Français. Dans la Ve République, le Président dispose de grands pouvoirs qui exigent de lui, en contrepartie, une rigueur et une exemplarité irréprochables. Sinon le risque d’une dérive vers un pouvoir personnel est grand. C’est le cas aujourd’hui. Le double langage est permanent. Les actes sont totalement contradictoires avec les intentions affichées. Trois exemples. Le président de la République a fait de la sécurité son fonds de commerce ; mais on réduit les effectifs dans les commissariats. Sur la régulation du capitalisme, il prône le retour du volontarisme public en économie - que je défends -, mais il donne de l’argent aux banques sans les contrôler. Il se fait le héraut du mérite au lycée, mais il organise l’arrivée de son fils à la tête de l’Epad. Cette schizophrénie ne peut pas durer.
Comment jugez-vous le manque de réactions des députés UMP ?
Un système de parti unique a été mis en place, d’où sont écartées les personnalités les plus fortes et celles qui réfléchissent. On ne peut pas attendre de leur part la dénonciation d’un système qui les nourrit. Je suis pourtant impressionné par le nombre de mes collègues qui se rendent compte des dérives et s’inquiètent de l’impasse économique et sociale dans laquelle le pays est entraîné. Quelques-uns tentent de résister à leur façon, mais la plupart n’osent pas franchir le Rubicon comme je l’ai fait en 2007, en dénonçant le candidat du show-biz, de la frime et du fric. Les parlementaires UMP évolueront le jour où ils auront le sentiment qu’une alternative à droite peut gagner. Je suis convaincu que les Français ne veulent pas du retour de la gauche et qu’ils ne supporteront bientôt plus le pouvoir sarkozyste. Il faut s’organiser pour préparer la suite.
Jean-François Copé pourrait incarner cette alternative à droite ?
J’ai l’impression qu’il mise plutôt sur 2017 que sur 2012. La question n’est pas de remplacer une personne par une autre, aussi brillante soit-elle. L’enjeu est de changer radicalement de politique. Malgré les beaux discours, ce gouvernement est en train d’échouer. Il ne remet pas en cause un système mondialiste de libre-échange intégral suicidaire pour nos emplois, un euro surévalué par rapport au dollar et une oligarchie bancaire étouffante pour nos PME. Tant que nous ne nous attaquerons pas aux causes du chômage, nous ne résoudrons rien.
Cette situation peut-elle nourrir un retour du FN ?
Si une droite républicaine et sociale n’émerge pas rapidement, un retour de l’extrémisme est à craindre. Beaucoup se sentent orphelins d’un vrai rassemblement gaulliste.
En intégrant la majorité présidentielle, Philippe de Villiers vous a dégagé le terrain du souverainisme ?
Ce n’est pas seulement la question de la souveraineté de la France qui est en jeu, mais la survie des principes républicains. L’effort économique à fournir dans les années qui viennent devra s’accompagner d’une vraie justice sociale. Nous en sommes loin.





Tous à la rescousse du Conseiller général de Neuilly-sud !

14/10/2009 14:55

Tous à la rescousse du Conseiller général de Neuilly-sud !


Soutien à la candidature du fils de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’EPAD : jusqu’où ira Philippe de Villiers ?

On savait Philippe de Villiers prêt à beaucoup de choses pour s’attirer les faveurs de son ami personnel Nicolas Sarkozy.
On se souvient de sa discrétion lors de la ratification parlementaire du traité de Lisbonne, traité négocié et imposé aux Français, tambour battant, par le tout nouveau président de la République.
On se souvient des mille et une précautions de langage prises par l’élu vendéen pour, dans les mois qui suivirent, réagir à l’actualité européenne, chargeant toujours les institutions communautaires et exonérant systématiquement de complicité avec elles le président français.
On a tous en tête le ralliement avec armes et bagages du président du MPF au camp présidentiel, oubliant au passage toutes les piques féroces qu’il lui avait lancées quelques semaines plus tôt lors de la campagne européenne. Oubliée, alors, l’accusation de double-jeu sur l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne…
Certains d’entre nous ont aussi remarqué l’abstention, dans la foulée, des parlementaires MPF sur la loi Hadopi II, eux qui avaient jusqu’alors combattu avec la dernière énergie cette loi liberticide imposée par les gros intérêts de l’industrie du disque.
Cela faisait déjà beaucoup, mais cela n’était manifestement pas assez : aujourd’hui, Philippe de Villiers s’est empressé d’apporter son soutien inconditionnel et élogieux à la candidature des plus controversées du fils du Président à la tête de l’EPAD. Louant « le talent et l’étoffe » de ce « conseiller général du peuple », le rallié de la Vendée s’indigne de ce qu’un « élu de la Nation » ne puisse assumer certaines fonctions « au prétexte de sa jeunesse » ou de « son origine ».
On s’étonnera bien sûr des étranges arguments avancés pour la défense du Dauphin de la Sarkozie : tout d’abord, chacun sait que le canton de Neuilly-sud n’est pas précisément habité par ce que l’on nomme ordinairement « le peuple ». Ensuite, on réserve plus souvent aux parlementaires qu’aux conseillers généraux le titre « d’élus de la Nation », étant donné que le Parlement est dépositaire de la « souveraineté nationale » selon les textes. Enfin, qui met en cause la « jeunesse » ou « l’origine » de Jean Sarkozy ? C’est sa filiation avec le chef de l’Etat, compte tenu de son inexpérience et de son manque de titres universitaires - d’où le fort soupçon de népotisme - qui révolte légitimement une écrasante majorité de nos concitoyens.
Ce n’était pas assez, donc il fallait que Philippe de Villiers aille jusque-là. Mais pas assez pour quoi, au fait ? Un maroquin ministériel ? L’avenir le dira sans doute. Quant aux électeurs abusés du MPF, ils savent déjà que leur confiance a bel et bien été trahie.
Laurent Pinsolle, porte-parole de DLR





Toujours les héritiers !

14/10/2009 08:22

Toujours les héritiers !


En matière de népotisme, illustré dernièrement par l'affaire impliquant le fils cadet du président Sarko 1er le petit, le Parti Socialiste a beau jeu  de critiquer celle ci à tout va ! Pourtant, il oublie qu'il est, lui aussi, un parti adepte du népotisme absolu ! Martine Aubry, actuelle première secrétaire du PS est un exemple de ces cadres socialistes qui ne doivent pas leur carrière au Hasard. Moins raffiné, mais tout aussi emblématique de l'instauration d'une aristocratie UMPS, sont les facilités, pour ne pas dire aisances, qu'ont été donné au fils de Bernard Derosier, par l'entremise de celui-ci, pour l'obtention d'un poste au Conseil Général du Nord. Rien de plus facile quand on sait que papa Derosier est président de ce même conseil ! Bref encore un exemple de la méritocratie d'aujourd'hui se basant à être le fils de quelqu'un. Une pratique qui, hélas, a dépassé les frontières du monde politique et que l'on retrouve dans le monde culturel, le monde des médias et dans le monde de l'entreprise. Où sont donc passés les beaux principes d'égalité prôné par notre chère République ? Cette république qui vacille devant les coups de boutoirs de la ploutocratie, l'aristocratie et l'égocratie... Bref, une république qui, si le peuple de France ne se lève pas, deviendra un jour une médiocratie.

PW






Petit manuel souverainiste à usage d'antidote contre les boniments européens

13/10/2009 16:11

Petit manuel souverainiste à usage d'antidote contre les boniments européens


Petit manuel souverainiste à usage d'antidote contre les boniments européens  

Francis Choisel et Bernard Lhôte
Paru le : 30/12/2000  
Editeur  : François Xavier de Guibert
ISBN : 2-86839-689-5  
EAN : 9782868396891  
Nb. de pages : 101 pages  
Dimensions : 14cm x 21cm x 0,9cm 

Mot de l'éditeur 

L'Europe, ce serait à la fois la paix garantie, la prospérité assurée, un atout dans la mondialisation, un contrepoids face aux Etats-Unis, un gage de modernité, un remède contre le déclin, et même notre souveraineté revivifiée ! Bref, le remède miracle, la solution à tous nos problèmes.
Voilà ce qu'on entend tous les jours. Ce petit manuel répond à ces boniments de manière alerte et originale, par une série d'arguments qui sont autant de " munitions pour la conversation ". Mais il ne se contente pas de répondre. Il propose aussi, à travers quelques " variations sur des thèmes souverainistes ", une vision rafraîchissante du souverainisme, de la France et du monde. En dehors des sentiers rebattus, des discours convenus, le petit manuel souverainiste surprend, séduit, puis convainc.  





Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD : la République des offices

13/10/2009 06:50

Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD : la République des offices


Durant la nuit d’un 4 août resté mondialement célèbre, qui vit la mise à bas de l’ancien régime, les révolutionnaires français ont aboli avec beaucoup de jubilation un privilège particulièrement détesté : le système des offices, consistant, contre argent sonnant et trébuchant, à acheter à l’Etat des charges publiques dont beaucoup étaient héréditaires, transmissibles de père en fils.
Dans la foulée de l’abolition des privilèges, l’Assemblée nationale nouvellement constituée proclama la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui dispose notamment, en son 6ème article : « Tous les Citoyens étant égaux aux yeux de la loi, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. »
Cette évocation historique peut paraître banale, tant elle est connue de chacun d’entre nous. Chaque citoyen est en effet censé connaître la Déclaration des droits de l’Homme de 1789, qui est affichée dans les écoles et fait partie du préambule de la Constitution de la République.
La stupéfaction que l’on ressent face à l’accession prochaine de Jean Sarkozy à la présidence de l’Etablissement public de la Défense (EPAD), n’en est que plus immense. Comment le chef de l’Etat peut-il imaginer une seconde que les Français ne verront que du feu à la nomination de son fils de 23 ans, qui n’a même pas achevé sa deuxième année de droit, à un poste stratégique qu’il a lui-même occupé lorsqu’il était président du Conseil général des Hauts-de-Seine ? Comment peut-il imaginer que nos concitoyens seront dupes de ce tour de passe-passe qui, disons-le franchement, sent à plein nez un népotisme digne de l’ancien régime le plus archaïque ? Qui peut d’ailleurs croire que c’est le fils qui gérera les autorisations de construire et non le père ? Or, ce dernier peut-il raisonnablement devenir promoteur immobilier du premier quartier d’affaires européen, sans scier la branche sur laquelle il est assis ? Et que penser, enfin, de la ribambelle de courtisans qui se relaient sans cesse pour, sans rire, justifier cette nomination par le seul « talent » du fils cadet de l’hôte de l’Elysée ? A qui donc fera-t-on croire que l’ascension fulgurante du « fils de » n’a rien à voir avec son nom ? Mais de qui se moque-t-on ?
Il est impossible que Nicolas Sarkozy et ses conseillers n’aient pas vu l’énormité du scandale qu’ils ont eux-mêmes décidé de provoquer. On est donc obligé de constater qu’ils l’assument totalement, comme s’il était naturel que le président de la République, en vertu d’on ne sait quel principe d’hérédité, confie des charges publiques considérables à sa progéniture. Ce n’est plus la République française, c’est la République des offices, ainsi rétablis plus de deux siècles après leur abrogation !
Cette affaire va sans doute soulever une tempête d’indignation dont le président sera bien forcé de tenir compte. Quelle qu’en soit, d’ailleurs, l’issue, on ne peut qu’être inquiet de la légèreté ou du cynisme qui habitent les plus hautes sphères du pouvoir. Comme si la France et les Français n’en avaient pas assez avec la montée du chômage, le retour de l’insécurité, la multiplication des taxes en temps de crise et la cascade de polémiques qui ne cessent de polluer le débat public !
Oui, décidément, il est grand temps que chacun ouvre les yeux et se ressaisisse…
NDA





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